Jean Zay fut l’une des figures emblématiques du Front Populaire, Ministre de l’Éducation Nationale et des Beaux-Arts de 1936 à 1940.
Emprisonné par le régime de Vichy pendant la guerre, il est assassiné par la Milice le 20 juin 1944.
Son récit de captivité nous apporte un éclairage saisissant sur son époque et ses correspondances avec la nôtre, sur son action visionnaire et le tragique de son destin.
En nous contant le dernier voyage d’une conscience exemplaire, n’ayant de cesse de lutter pour la dignité et pour l’expression de la vérité, il nous permet de croire en la possible vertu
de l’homme politique et de l’homme tout court, cette merveilleuse cohérence dont nous manquons tant aujourd’hui.
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